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Afrique : NJ Ayuk mise sur l’énergie pour bâtir l’Afrique industrielle de demain

NJ Ayuk est une figure majeure du monde des affaires africain, pionnier de l’énergie et engagé dans l’entrepreneuriat. Il est le fondateur et PDG du Centurion Law Group, et préside la Chambre africaine de l’énergie. Il est l’auteur de « Billions at Play » et co-auteur de « Big Barrels ».Grâce à son engagement auprès des gouvernements, des investisseurs et des institutions, NJ Ayuk continue de promouvoir une vision pour l’Afrique qui transforme sa richesse énergétique en industries nationales et en produits à valeur ajoutée, plutôt que de se limiter à l’exportation de matières premières.

NJ Ayuk est une figure majeure du monde des affaires africain, reconnu pour son rôle de pionnier dans le secteur de l’énergie et son engagement en faveur de l’entrepreneuriat et du développement sur le continent. Il est le fondateur et PDG du Centurion Law Group, un conglomérat juridique panafricain spécialisé dans le droit des sociétés. Il est le président de la Chambre africaine de l’énergie, qu’il a fondée. NJ Ayuk est l’auteur de « Billions at Play : The Future of African Energy and Doing Deals » et co-auteur de « Big Barrels : African Oil and Gas and the Quest for Prosperity ».

“ Depuis trop longtemps, les Africains voient leurs ressources énergétiques s’en aller ailleurs, tout en restant eux-mêmes sans accès à l’énergie. J’ai toujours défendu cette idée : 600 millions d’Africains n’ont toujours pas accès à l’électricité, et 900 millions n’ont pas accès à des technologies médicales de base.C’est cela la véritable priorité de l’Afrique aujourd’hui : nous devons y faire face et améliorer la situation.”

NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergieCameroun

Sous la direction de NJ Ayuk, la Chambre africaine de l’énergie (AEC) s’est imposée comme un acteur majeur, défendant ardemment le droit de l’Afrique à exploiter ses ressources de manière responsable afin de stimuler la croissance économique. Grâce à son engagement auprès des gouvernements, des investisseurs et des institutions, NJ Ayuk continue de promouvoir une vision pour l’Afrique qui transforme sa richesse énergétique en industries nationales et en produits à valeur ajoutée, plutôt que de se limiter à l’exportation de matières premières.

“Nous devons également transformer nos minéraux ici, en Afrique, afin de créer des emplois, générer des opportunités et élargir nos perspectives économiques, plutôt que de voir nos jeunes partir à l’étranger. Cette vision claire,celle de financer l’avenir de l’Afrique à partir de ses propres ressources, vient de lui, et elle mérite d’être soutenue.Aujourd’hui, nous avons vu Dan Cody évoquer la possibilité de doubler la capacité de sa raffinerie, un projet encore plus ambitieux. C’est un entrepreneur africain qui agit concrètement pour le développement du continent. Je suis convaincu qu’en travaillant main dans la main avec le Dr Lombi, nous verrons émerger de grandes choses pour notre continent.”

NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergieCameroun

600 millions d’Africains manquent d’électricité, ce qui coûte 3 à 4 % du PIB annuel au continent. Les infrastructures défaillantes et la sous-utilisation des ressources locales freinent le développement industriel. Les coûts élevés rendent l’énergie inabordable. Pour l’indépendance énergétique, les pays africains doivent mobiliser des ressources nationales et privées. Des rapports officiels estiment également que l’Afrique a besoin de 1 000 à 2 000 milliards de dollars pour atteindre ses objectifs de transition vers des énergies propres d’ici à 2030.

“Ce que nous devons faire aujourd’hui, c’est combler un véritable déficit d’infrastructures. En ce moment, nous devons investir près de 17 milliards de dollars pour réhabiliter nos raffineries, que ce soit au Cameroun, au Nigeria ou en Angola. En réparant nos raffineries, que se passe-t-il ? Nous créons davantage d’opportunités économiques, nous réduisons notre dépendance aux importations coûteuses, et nous valorisons notre propre production locale. Mais cela ne s’arrête pas là : nous investissons également dans les infrastructures énergétiques, en construisant davantage de pipelines à travers l’Afrique. L’objectif est clair : acheminer l’énergie directement dans les foyers africains et stimuler nos économies régionales. Et quand cela se produit, quel est l’impact ? Les petites industries voient le coût de l’énergie et de l’électricité diminuer. Elles disposent alors de plus de ressources pour investir, pour se développer et pour créer encore plus d’emplois. C’est ainsi que l’Afrique construit sa propre prospérité, par elle-même et pour elle-même.”

NJ Ayuk, président exécutif de la Chambre africaine de l’énergieCameroun

L’électrification de l’Afrique d’ici 2030 est jugée nécessaire, vitale et réalisable. Les experts estiment que 80 % du continent pourrait être électrifié en dix ans si les projets existants étaient mis en œuvre, malgré des problèmes de soutenabilité financière. Des leaders comme NJ Ayuk sont essentiels pour un avenir africain prospère et durable.

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