À la suite de l’interdiction par le gouvernement d’importer des légumes imposée le 1er janvier au Botswana, les agriculteurs commerciaux de Pandamatenga affirment avoir suffisamment de capacités, d’infrastructures et d’expertise pour répondre à la demande du pays mais il se pose un problème d’accès à l’eau. Selon la Local Enterprise Authority, la production des 16 cultures actuellement interdites d’importation dans le pays devra augmenter de 116% pour répondre à la demande nationale. L’interdiction du 1er janvier est prévue durer sur une période d’au moins 2 ans.