er avril les correspondantes des quotidiens français, « Le Monde » et « Libération ». Si pour la presse française cet acte est qualifié d’ inacceptable et d’ arbitraire, pour les autorités du burkina, cette mesure vise à condamner fermement les manipulations déguisées en journalisme pour ternir l’image du pays. Cette mesure est un nouveau signe de la dégradation de la liberté de la presse et des relations avec la France