La BAD a injecté près de 400 milliards de francs CFA pour financer les projets porteurs, notamment dans l’agriculture, le transport et l’énergie en République centrafricaine. Si certains secteurs ont enregistré des succès dans la mise en œuvre, ce n’est pas le cas pour l’énergie et le transport. L’évaluation de la délégation de la Banque africaine de développement (BAD) dégage la faible capacité d’absorption des fonds par le gouvernement centrafricain. Cette faiblesse est estimée à plus de 60% du montant global alloué pour le financement des secteurs porteurs de croissance.