Pour assurer la fluidité du trafic et des transits sur le réseau routier, les gouvernements congolais et camerounais veulent installer un poste de contrôle unique, doté d’une autonomie financière. Cette décision fait suite à la mise en service depuis quelques mois de la route bitumée Ouesso-Sangmélima qui a permis de densifier les échanges entre les deux pays voisins. Avec la construction du poste de contrôle unique frontalier, l’opérationnalisation de la structure et la mise en place d’un comité de gestion du corridor, une convention devra être signée par les parties en vue de régir les objectifs pour en faire un corridor de développement.