Lors de la conférence sur l’impact humanitaire des mines antipersonnel improvisées, le 13 février 2024, le vice-président Mahamudu Bawumia a appelé tous les pays membres du traité d’interdiction des mines à prendre des mesures urgentes pour prévenir les milliers de morts et de blessés résultant de la prolifération des mines terrestres. Le traité vise à mettre fin aux souffrances et aux pertes causées par les mines antipersonnel et compte actuellement 164 États membres, dont le Ghana.