Africa24 TV

Guinée : focus sur le Festival des arts du rire de Labé

Guinée : focus sur le Festival des arts du rire de Labé

C’est à Labé, à plus de 400 kilomètres de Conakry, que de nombreux guinéens se donnent désormais, chaque an, rendez-vous, pour rire ! Profiter du festival des arts et du rire de Labé ! Mais surtout, profiter de la prestation de certains comédiens célèbres à travers toute l’Afrique qui, souvent, ne jouent que dans les capitales.  

Le festival des arts et du rire de labé, s’est imposé au fil des ans, comme un rendez-vous phare de l’humour en Afrique ! Une occasion unique de rencontre entre artistes locaux et vedettes venus d’ailleurs ! Après le célèbre Michel Gohou l’année dernière, c’est autour de Boukary de fouler la terre du fouta Djallon.

Gohou était venu, Zongo était venu. Il y a de grandes figures de l’humour africain qui sont passées ici. Quand ils quittent ici, ils racontent ce qu’ils ont vu, ce qu’ils ont vécu. Et c’est toujours en bien. Si moi aussi j’ai pris ce temps de venir ici, c’est parce qu’ils m’ont raconté de Labé que je voulais voir, moi aussi.

Kouamé Gilles Romuald Kacou alias Boukary, Comédien

Mettre en lumière la culture africaine dans toute sa diversité, c’est l’une raison d’être du festival du rire de Labé. Le festival se veut aussi être une thérapie, pour soigner par le rire, un continent régulièrement victime de diverses crises. 

Le monde entier saura ce qui se passe à Labé. On va leur montrer que les Africains savent aussi rire, ils ne savent pas seulement pleurer.

Kouamé Gilles Romuald Kacou alias Boukary, Comédien

Kouamé Gilles Romuald Kacou, à l’état-civil, était attendu ! Et Boukary n’a pas déçu.  Si en effet aujourd’hui,  il n’est plus à présenter sur le continent, le faire venir à l’intérieur du pays n’était justement pas chose aisée.  D’où l’objectif de ce Far, permettre aux habitants de l’intérieur de pouvoir aussi profiter de la prestation des stars de l’humour africain qui, en temps normal, sont inaccessibles pour les gens qui ne résident pas dans la capitale. 

Quitter la version mobile