Après les sanctions émises par la CEDEAO à l’endroit du Mali, le gouvernement par la voie du ministre des affaires étrangères Abdoulaye Diop qui s’est entretenu avec des membres du gouvernement mauritanien a réitéré l’engagement du Conseil national de transition à trouver le bon équilibre entre les aspirations du peuple et les demandes de la communauté internationale.
Selon la presse malienne, la crise politique qui sévit, résulte d’une mauvaise gouvernance et de violations des droits humains par des groupes armés. Des maux qui ont amené le ministre malien des Affaires étrangères, Abdoulaye Diop, a réitéré ce 18 janvier en Mauritanie comme en Russie, l’engagement du Conseil national de transition à trouver le bon équilibre entre les aspirations du peuple et les demandes de la communauté internationale.
La crise politique qui cristallise le pays depuis 18 mois a entraîné le retard dans la tenue des élections. Ce qui n’a pas manqué d’interpeller la communauté africaine notamment la CEDEAO qui a émis des sanctions envers cet Etat notamment la fermeture des frontières avec de nombreux pays frontaliers.
Des sanctions qui ont amené le colonel Assimi Goita à lancer un appel ce 14 janvier aux Maliens pour une mobilisation générale sur tout le territoire et à la prière pour trouver un consensus politique rapide.