Quatrième point cardinal de son plan d’action, Sidi Ould TAH accorde une priorité stratégique au Développement d’infrastructures résilientes , condition indispensable pour renforcer la compétitivité du continent et générer une croissance durable.
En Afrique subsaharienne, l’industrie manufacturière ne pèse que 12 à 14 % du PIB , en partie à cause du manque d’infrastructures de base. Pour Sidi Ould TAH, combler ce déficit est une étape clé pour réussir la transformation économique du continent.
Il plaide ainsi pour un réseau d’infrastructures modernes et intégrées, capable de soutenir la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECAf) et d’accélérer la transformation locale des matières premières, moteur de valeur ajoutée.
