En Centrafrique, la validation des candidatures par le Conseil constitutionnel marque une nouvelle étape dans le processus électoral. Au sein de la majorité présidentielle, les responsables assurent que les structures du parti sont déjà mobilisées pour accompagner cette séquence institutionnelle. Entre préparation interne, organisation du scrutin et appel à la participation, quels enjeux pour les prochaines semaines.
À Bangui, la confirmation des candidatures place l’ensemble des institutions au cœur des préparatifs du scrutin national. Pour la majorité présidentielle, cette étape s’inscrit dans une dynamique de travail enclenchée depuis plusieurs mois afin de consolider les structures de base et encadrer la participation citoyenne. Une organisation présentée comme essentielle pour garantir la crédibilité du processus.
La validation de la candidature du professeur Faustin-Archange Touadéra confirme l’entrée dans une nouvelle phase. Depuis plusieurs mois, nous avons restructuré nos organes de base, mobilisé nos partisans et renforcé nos coordinations. Aujourd’hui, nous sommes prêts sur le plan organisationnel pour accompagner sereinement le processus électoral.
Évariste NGAMANA, Porte-parole du candidat Faustin Archange Touadera
Dans le cadre institutionnel, la majorité met également l’accent sur la participation citoyenne. Les responsables politiques appellent les électeurs enrôlés à s’approprier pleinement leur rôle dans le choix des dirigeants, tout en insistant sur le respect du cadre légal qui encadre cette période pré-électorale.
Nous encourageons tous les citoyens enrôlés à exercer leur droit civique le jour du scrutin. En tant que responsables politiques, notre rôle est de sensibiliser nos militants et de rappeler que chaque voix compte pour renforcer la légitimité des institutions et la stabilité nationale.
Évariste NGAMANA, Porte-parole du candidat Faustin Archange Touadera
Alors que le pays se prépare à voter lors de l’élection présidentielle du 28 décembre 2025, les enjeux portent autant sur la mobilisation des acteurs que sur la bonne tenue du processus. La majorité affirme que la stabilité institutionnelle reste un pilier essentiel pour accompagner les réformes et projeter le pays vers l’avenir. Une séquence politique déterminante pour la République centrafricaine.



