Plus de 700 journalistes des médias internationaux et locaux ont été accrédités par la Confédération Africaine de Football (CAF). Et pour une couverture médiatique de qualité, la CAF et le comité d’organisation de la CAN ont mis à la disposition des journalistes certaines facilités dans les différents centres médias.
Dans les centres de médias de Yaoundé, capitale camerounaise, c’est tout un dispositif qui a été mis sur pied pour faciliter le travail des journalistes durant la CAN 2021. Équipés en ordinateurs avec une connexion haut-débit et des écrans plasma pour visualiser les rencontres en duplex dans les autres villes, les centres médias des stades omnisports et Olembe permettent aux journalistes d’être non seulement à l’affût de l’information et de transmettre dans les délais leurs travaux. Des conditions de travail qui sont conviviales pour bon nombre de journalistes étrangers.
Avec la chaleur familiale qui y règne, plusieurs journalistes ont créé des groupes de travail et solidarité pour faciliter la communication à certains qui n’ont pas la chance de manier plusieurs langues. Ndlela, journaliste sud-africain, dit s’être très vite familiarisé avec ses confrères bien qu’il soit d’expression anglaise. Ces derniers lui donnent un coup de pouce durant les conférences de presse avec les équipes.
Au-delà du contexte sanitaire lié à la pandémie, il faut dire que nul n’entre dans les centres médias sans être passée au scanner pour des raisons de sécurité. Une attitude qui n’émeut pas toujours les hommes et femmes de médias. Des conditions de travail qui s’accompagnent également au quotidien durant les jours de matchs par des petits repas et des rafraîchissements offerts à la presse.