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Burkina Faso : 26,4 millions d’abonnés à la téléphonie mobile en 2023

Afin de renforcer la régulation et de favoriser l’expansion des télécommunications au Burkina Faso, l’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes du pays a créé, le mardi 5 mars, un cadre de concertation avec des opérateurs de vente de capacités, des fournisseurs d’accès Internet FTTH (fibre jusqu’au domicile) et des fournisseurs d’infrastructures. Dans un communiqué officiel, l’ARCEP a souligné que cette initiative s’inscrit dans sa volonté de renforcer la régulation du secteur télécoms en comprenant mieux les attentes de tous les acteurs impliqués. Cette approche participative et inclusive vise à créer un environnement propice à l’innovation et à la croissance, au bénéfice des consommateurs burkinabé.

L’Autorité de régulation des communications électroniques et des postes du Burkina Faso (ARCEP) a créé, le mardi 5 mars, un cadre de concertation avec des opérateurs de vente de capacités, des fournisseurs d’accès Internet FTTH (fibre jusqu’au domicile) et des fournisseurs d’infrastructures. Ce cadre a été mis en place pour créer les conditions d’une interaction entre l’ARCEP et ses opérateurs pour partager facilement les informations sur les évolutions et les projets dans le secteur des communications électroniques ainsi que pour les échanges sur les difficultés rencontrées.

“Il est bon de saluer ce cadre d’initiative qui permet de d’échanger entre les acteurs du domaine des télécommunications. Mais il faut surtout rappeler que les télécommunications coûtent cher au Burkina Faso. Non seulement il ya la cherté des coûts de communication mais aussi Io ya cette difficulté d’accès même a un service de qualité”

Emile Ouedraogo, Analyste politiqueBurkina Faso

Selon les données de l’ARCEP, le Burkina Faso comptait 26,4 millions d’abonnés à la téléphonie mobile et 17,7 millions d’utilisateurs de l’Internet mobile au troisième trimestre 2023. Si les taux de pénétration de ses deux services sont relativement élevés, les chiffres réels devraient être moins importants étant donné que certaines personnes possèdent plusieurs cartes SIM. Ainsi une meilleure régulation devrait accélérer le développement du secteur des communications électroniques burkinabé au profit des consommateurs selon le régulateur des télécommunications.

“Les opérateurs de télécommunications qui sont au Burkina Faso aujourd’hui se font des milliards de bénéfices mais ils n’ améliorent pas la qualité du service et les coûts de communication sont très élevés. Donc a travers ce cadre là Il faut avoir des services de qualités, il fait travailler à avoir des services à recouvrement réduit pour le bonheur des populations”

Emile Ouedraogo, Analyste politiqueBurkina Faso

Selon l’ARCEP, cette mise en communication entre le régulateur de la téléphonie et ses fournisseurs s’inscrit dans le cadre de la volonté de l’ARCEP de renforcer la régulation du secteur télécoms grâce à une meilleure connaissance des attentes de tous les intervenants. Le régulateur avait déjà mis en place un cadre de concertation avec les opérateurs de téléphonie mobile du pays à savoir Moov Africa (ONATEL), Telecel, et Orange.

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