La république du Congo s’inscrit sur la liste des États africains indexés par la maladie du MPOX avec 158 cas suspects enregistrés depuis le début de l’année, 21 cas confirmés et 19 traités et guéris. Le ministre de la Santé, Gilbert Mokoki, a dressé la situation de la pandémie le 24 août 2024 lors de la conférence de presse tenue par les organisateurs en prélude de la 74ᵉ session du Comité régional de l’Organisation Mondiale de la Santé pour l’Afrique. Il invite à s’imprégner des mesures barrières afin de freiner la propagation.
Depuis le début de l’année 2024, le Congo a enregistré 21 cas confirmés de variole simienne, selon le bilan de la situation de la pandémie dressée le 24 août 2024 par le ministre de la Santé, Gilbert Mokoki, lors de la conférence de presse tenue en prélude à la 74ᵉ session du Comité régional de l’Organisation Mondiale de la Santé pour l’Afrique. 158 cas suspects ont été enregistrés dans le pays d’Afrique centrale avec seulement 19 cas confirmés, traités et guéris.
L’épidémie a affecté cinq des quinze départements de la République du Congo, notamment les régions forestières de la Sangha et de la Likouala au nord du pays. Le Mpox continue sa propagation, avec environ 1 200 cas confirmés en Afrique centrale et de l’Ouest, dont le Nigeria et le Cameroun. Bien que le taux de létalité oscillant entre 3 et 5%, la maladie reste une préoccupation en raison de son potentiel de propagation rapide. Le ministre de la santé invite les populations à s’imprégner des mesures préventives pour limiter la propagation.
A noter que plusieurs pays africains ont connu une recrudescence de la variole simienne au premier semestre 2024. En réponse à cette crise, les États africains intensifient leurs efforts pour endiguer la maladie.
