Djibouti et la Chine ont procédé le 31 décembre 2024, à la signature d’Un nouvel accord de coopération économique et technique. Un accord marque une étape décisive dans le développement de leurs liens et qui témoignent de la volonté des deux nations de renforcer leur partenariat à long terme.
Dans un tournant significatif de la coopération entre Djibouti et la Chine, un nouvel accord de coopération économique et technique a récemment été signé entre les deux nations. Ce partenariat marque une étape importante dans le développement des relations bilatérales et témoigne de la volonté de ces Etats de renforcer leurs liens à long terme, non seulement sur le plan économique, mais aussi diplomatique et technique.
“ Comme convenu lors du dernier sommet du FOCAC entre nos deux gouvernements, nous avons le plaisir à la signature d’un nouvel accord économique et technique entre la République de Djibouti et la République populaire de Chine.”
Mahamoud Ali Youssouf, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale – Djibouti
Djibouti est devenu l’un des acteurs centraux dans la stratégie de la Chine pour son initiative intitulée “Nouvelles routes de la soie” en Afrique. Les investissements chinois dans le pays ont été substantiels ces dernières années, notamment dans le développement d’infrastructures portuaires et ferroviaires, de santé, d’éducation, de sécurité, de culture, de logements sociaux, d’agriculture, d’élevage et de formation professionnelles.
“ Nous pouvons affirmer avec fierté que les relations bilatérales entre nos deux pays sont élevées grâce à la vision partagée de développement durable de son excellence le président Omar Guelleh et de son excellence le président Xi Xip Pin. Ces relations fructueuses résultent d’un long processus de coopération fondé sur des partenariats équilibrés, gagnant-gagnant.”
Mahamoud Ali Youssouf, Ministre des Affaires étrangères et de la Coopération internationale – Djibouti
Ce partenariat permet à Djibouti de tirer parti de l’expertise chinoise pour diversifier son économie et renforcer ses capacités locales. En retour, la Chine voit cet accord comme une opportunité d’étendre son influence en Afrique et de consolider sa position de leader dans le domaine des infrastructures.