Dorothy Tembo est Directrice exécutive adjointe de l’ITC depuis juin 2014. Elle est réputée pour ses initiatives dynamiques visant à promouvoir le commerce en Afrique. Depuis sa prise de fonction, Tembo a été le fer de lance de la relance du Programme cadre intégré renforcé (EIF), qui soutient les pays les moins avancés (PMA) dans l’élimination de leurs barrières commerciales, en ayant un impact positif sur plus de 1000 projets et en renforçant les collaborations économiques à travers le continent.
Dorothy Tembo est Directrice exécutive adjointe de l’ITC depuis juin 2014. Avant de rejoindre l’ITC, Mme Tembo a été le fer de lance de la relance du Programme cadre intégré renforcé (EIF), qui aide les pays les moins avancés (PMA) à répondre à leurs besoins d’assistance technique liée au commerce et à leurs contraintes en matière d’offre. L’une des principales responsabilités de Mme Tembo au ministère zambien du commerce et de l’industrie a été de diriger l’équipe technique zambienne en sa qualité de coordinatrice des PMA lors de la réunion ministérielle de l’OMC à Hong Kong, qui a notamment décidé d’étendre aux PMA l’accès au marché en franchise de droits et de quotas. Grâce à sa résilience et à son engagement à faire de l’Afrique un endroit meilleur, elle a supervisé l’exécution des projets, la mobilisation des ressources et la gestion financière.
Notre objectif est d’aider les micro, petites et moyennes entreprises à améliorer leur compétitivité et, ce faisant, de les mettre en relation avec les marchés. Pourquoi les PME ? Elles représentent 90 % des économies africaines. Notre travail dans les 50 pays d’Afrique où nous sommes présents se concentre exclusivement sur ce point.
Dorothy Tembo, Députée, Directrice exécutive adjointe de l’ITC – Zambie
Sous la direction de Dorothy, des initiatives stratégiques ont été mises en place pour renforcer la coopération informatique et économique entre les pays africains. Elle a été citée dans la deuxième publication des 100 femmes africaines les plus influentes en 2020 par Avance Media. En outre, en juin, le CCI a lancé, sous sa direction, un rapport intitulé « COVID-19 : Le grand blocus et son impact sur les petites entreprises. Mme Tembo souligne le rôle des femmes et des jeunes dans le redressement post-pandémie en Afrique et les défis à relever. Elle met en avant l’application de pratiques agricoles pour mieux survivre .
La collaboration entre l’agriculture et les biocops, dans nos récents projets pilotes de cop to cop, nous montre la valeur qu’ils soutiennent lorsqu’ils échangent entre eux. Nous exploitons la valeur du modèle de cop dans bon nombre de nos projets, y compris le manioc, le cacao et l’huile de palme en Sierreone.
Dorothy Tembo, Députée, Directrice exécutive adjointe de l’ITC – Zambie
En outre, durant son mandat de directrice exécutive adjointe du Cadre intégré renforcé, d’octobre 2008 à octobre 2013, Madame Tembo a été le fer de lance de l’initiative, qui visait à répondre aux besoins d’assistance technique liée au commerce et aux contraintes du côté de l’offre des pays les moins avancés. Tembo a supervisé les efforts visant à rendre le Cadre intégré renforcé opérationnel en 2010. l’initiative était soutenue par un fonds fiduciaire multi-donateurs avec un capital libéré de 165 millions de dollars.
Nous avons besoin de coopération, de dialogue et de compréhension. Ce cri d’alarme résonne fortement aujourd’hui, car il sous-tend l’engagement que nous avons pris, au Centre du commerce international, de collaborer avec nos partenaires et nos bénéficiaires, d’instaurer la confiance afin de trouver des solutions et de favoriser les échanges commerciaux de qualité.
Dorothy Tembo, Députée, Directrice exécutive adjointe de l’ITC – Zambie
Directrice exécutive par intérim, chargée de superviser tous les aspects de l’orientation opérationnelle et stratégique de l’assistance technique liée au commerce fournie par l’organisation aux pays en développement en vue d’atteindre les objectifs de développement durable. Madame Tembo a obtenu des résultats concrets en accordant la priorité à plus de 80% de l’assistance fournie aux pays d’Afrique subsaharienne, aux pays les moins avancés, aux petites économies vulnérables, aux petits États insulaires en développement, ainsi qu’aux économies fragiles et en situation d’après-conflit.