À la tête de la BAD, Sidi Ould TAH place la Réforme de l’architecture financière du continent au cœur de son deuxième axe stratégique.
Son ambition : repenser en profondeur le système financier africain, en redéployant les institutions existantes et en consolidant le rôle central de la Banque africaine de développement.
Cette refonte s’inscrit dans un contexte où l’Afrique a besoin de 130 à 170 milliards USD par an pour combler ses seuls besoins en infrastructures. La BAD entend ainsi se positionner comme un levier collectif, capable de fédérer les forces financières du continent et de garantir à chaque pays un meilleur accès aux ressources nécessaires à son développement.



