Le président Ahmadou Ahidjo proclame l’indépendance du Cameroun à la place de l’indépendance à Yaoundé. © Droits réservés
Le Cameroun est surnommé « Afrique en miniature » en raison de sa diversité climatologique, minière, géographique, linguistique et culturelle. C’est un État de l'Afrique Centrale d'une superficie globale de 475 650 km2. Il partage des frontières avec 6 Etats : le Nigeria à l’Ouest, le Tchad au Nord-est, la République Centrafricaine à l’Est, le Congo, le Gabon et la Guinée-Équatoriale au Sud. Avec une population estimée à 27 millions d'habitants, le pays est réparti entre 280 ethnies parlant 24 langues principales. Le Cameroun, bordé par l’Océan atlantique, est dominé par l’un des massifs montagneux les plus hauts d’Afrique. Découvert par le navigateur carthaginois Hannon, au VIe et Ve siècle avant J-C, le Cameroun trouve l’origine de son nom par la désignation de l’estuaire du Wouri « Rio dos camaroes » par les marchands portugais qui s’y installent dès le XIVe siècle. Le 12 Juillet 1884, le Cameroun est placé sous protectorat allemand. Pendant la 1ère guerre mondiale, en 1916, le territoire “Kamerun” tombe sous la tutelle d’un condominium franco-britannique, suite à la signature d’un mandat de la Société des Nations. En 1922, il devient un territoire sous mandat de la Société des Nations (SDN).
Le président Ahmadou Ahidjo proclame l’indépendance du Cameroun à la place de l’indépendance à Yaoundé. © Droits réservés
Le préambule de la constitution adopté par référendum le 21 février 1960 © Droits réservés
Le président Ahmadou Ahidjo, 36 ans lors de la cérémonie d'indépendance à Yaoundé © Droits réservés
Une affiche de communication sur l’élection du 11 février 1961. © Droits réservés
Vue de la salle de la conférence de la préfecture du département du Noun © Droits réservés
Vue du rond-point Poste centrale à Yaoundé en août 1961 © Capture d’écran reportage d’Ina sur Youtube
La une de l'hebdomadaire de l’Union Camerounaise le 1er octobre 1961. © Capture d’écran reportage d’Ina sur Youtube
Maquette recto du billet de 00 francs (1963) de la Banque Centrale des États de l’Afrique Équatoriale et du Cameroun. © La Banque des États de l’Afrique Centrale (BEAC)
Face recto d’un bulletin de vote du référendum de 1969 © Crtv
Jacques Yvon Ndolou, le capitaine des Diables Rouges reçoit le trophée de la Coupe d’Afrique des Nations des mains du président Ahmadou Ahidjo. © Capture d’écran reportage d’Ina sur Youtube
Le Premier ministre Paul Biya devient le successeur constitutionnel du Chef de l’Etat en juillet 1979. © Droits réservés
La Une du quotidien Cameroon Tribune du 5 avril 1982. © Droits réservés
Portrait officiel du président de la république Paul Biya. © Droits réservés
Carcasse de char d’assaut détruit dans les rues de Yaoundé. © Droits réservés
Le multipartisme est instauré au Cameroun à travers l'adoption de la loi du 19 décembre 1990 portant sur la création des partis politiques. Ces derniers se créent et exercent librement leurs activités dans le cadre de la constitution et de la présente loi.
Le Cameroun a créé la sensation en venant à bout de l’Argentine, tenant du titre, lors du match d’ouverture du Mondiale italien. © Cameroon-tribune
3 015 448 électeurs prennent part à cette première élection multipartite (image d’illustration). © Crtv
Le drapeau du Commonwealth of Nations © Droits réservés
Constitution de 1996 fait du Cameroun un état unitaire décentralisé. © Droits réservés
Une vue de l’entrée de la péninsule de Bakassi. © Droits réservés
A la faveur d’un amendement de la Constitution, la limitation des mandats présidentiels est levée. Selon la Loi N° 2008/001 du 14 avril 2008 modifiant et complétant certaines dispositions de la loi n° 96/06 du 18 janvier 1996 portant révision de la constitution du 02 juin 1972, le Président de la République par intérim- le Président du Sénat ou son suppléant ne peut modifier ni la Constitution, ni la composition du gouvernement. Il ne peut recourir au référendum. Il ne peut être candidat à l’élection organisée pour la présidence de la République.
Un collège électoral constitué des 9887 conseillers municipaux élit 70 sénateurs. © Droits réservés
Quelque 24 000 grands électeurs étaient appelés à voter pour désigner 900 conseillers régionaux.© Paul Marcel Mayagui/Africa24
Cérémonie d’ouverture de la Can Cameroun 2021 © Droits réservés