Découvert par le public lors du lancement de son mini-album en 2021, le jeune chanteur Sisdé est l’une des étoiles montantes de la musique moderne du Tchad. Il continue à marquer le public par ses chansons inspirées des quotients des Tchadiens et choisit de rendre hommage à la beauté de la femme. Une façon pour lui d’éduquer sa génération à la paix et au respect de la femme qu’il considère comme un trésor de Dieu pour embellir et adoucir le monde.
Ses fans le surnomment Loveman ou Loveboy, le jeune musicien Sisdé a su marquer le public par ses chansons d’amour et de tendresse depuis 2021. A travers ses différents clips, il choisit de rendre hommage à la douceur de la femme, à sa beauté et son amour inconditionnel. Une façon pour lui d’éduquer sa génération à la paix, à la vie familiale et au respect de la femme qu’il considère comme un trésor divin.
“J’ai eu à sortir trois titres et après ça j’ai eu à signer dans un label en 2021 et j’ai sorti un mini album de sept titres. Comme je le disais, je touche beaucoup plus à l’amour. Dans la quasi-totalité des albums, j’ai chanté l’amour. J’ai eu aussi à faire un peu de rap aussi dans mes chansons parce qu’à la base je suis rappeur. Je le suis toujours bien que je ne râpe pas trop souvent dernièrement.”
SISDE, Musicien – Tchad
Pour répondre aux attentes de ses fans, le jeune musicien travaille déjà sur un projet d’un nouvel album dont l’enregistrement à commencé en janvier 2025. Comme toujours, il promet de la douceur et de la tendresse au public qu’il a su conquérir par ses douces mélodies et sa voix affective et perçante.
“J’ai autant de projets. En vacances, je dois me rendre au Cameroun pour deux clips. Les chansons sont déjà enregistrées mais je me rends là-bas pour la réalisation des clips et pour la promotion.”
SISDE, Musicien – Tchad
Le souhait du jeune musicien Sisdé est d’arriver à un niveau pas encore atteint dans la musique tchadienne. Mais le plus important pour lui est d’éduquer les jeunes à la paix et à l’amour. Pour lui, face à l’épidémie du phénomène de la violence, il faut prescrire comme médicament de prévention, l’amour, encore de l’amour et toujours de l’amour.
