Le 29 août 2025, le Conseil constitutionnel de Côte d’Ivoire a publié la liste provisoire des 60 candidats pour l’élection présidentielle du 25 octobre 2025. Parmi eux se trouvent des figures emblématiques comme Alassane Ouattara, Laurent Gbagbo, Simone Ehivet et Tidjane Thiam. Une période de contestation est ouverte jusqu’au 1er septembre 2025 à 18 heures.
En Côte d’Ivoire, le Conseil constitutionnel a officiellement publié le 29 août 2025, la liste provisoire des candidatures pour l’élection présidentielle prévue le 25 octobre. Au total, 60 postulants ont été retenus, dont des figures majeurs de la scène politique ivoirienne notamment l’ex-président Laurent Gbagbo du PPA-CI, de Simone Ehivet du MGC, Tidjane Thiam du PDCI-RDA, Pascal Affi nguessan du FPI, Jean Louis Billon du CODE ainsi que le président sortant Alassane Ouattara du RHDP.
Là où les Ivoiriens attendent le conseil constitutionnel ce qui cristallise les regards c’est sûr la liste définitive . Est-ce qu’au soir du 10 septembre est-ce que les ténors de l’opposition tels que l’ex chef d’État Laurent Gbagbo, Tidjane Thiam du PDCI-RDA verront-ils leur candidature retenue?.
Dimitri Agoutsi , Analyste politique
Conformément à l’article 56 du code électoral, une période de contestation est désormais ouverte. Les candidats, ainsi que les partis ou groupements politiques les soutenant, ont jusqu’au 1er septembre à 18 heures pour déposer leurs réclamations auprès du secrétariat général du Conseil constitutionnel. Les recours devront être remis en dix exemplaires originaux et inscrits dans le registre prévu à cet effet.
Parce que ces deux candidats c’est bon de le rappeler ont déposé leur dossier quoique étant radié des listes électorales et c’est la base de ces candidats qui le disent haut et fort qu’ils remplissent toutes les conditions pour être éligible à ce scrutin.
Dimitri Agoutsi , Analyste politique
Sur les 60 candidats retenus, plus de 30 se présentent en tant qu’indépendants. On retient également la présence de plusieurs jeunes de moins de 40 ans, un signe d’un renouvellement générationnel qui pourrait influencer ce scrutin présidentiel.
