À Bamako, la Direction régionale du commerce de la consommation et de la concurrence (DRCC) a procédé à la fermeture d’une unité clandestine de production de jus sur la rive droite de la ville. Cette usine produisait et commercialisait ses boissons sans respecter les normes sanitaires ni payer les taxes, exposant les consommateurs à des risques sanitaires et générant un manque à gagner pour l’État. Cette opération s’inscrit dans le programme national de contrôle et de régulation des industries
Ils sont désormais hors d’état de nuire, ces malfrats évoluant dans le secteur alimentaire sans respecter la moindre norme sanitaire ou fiscale.
Sur la rive droite de Bamako, une unité de production de jus a été fermée par la Direction régionale du commerce de la consommation et de la concurrence, après un travail de renseignement minutieux. L’usine produisait et écoulait ses boissons sans aucune analyse, exposant les consommateurs à des risques sanitaires importants.
Cette action s’inscrit dans le cadre du programme national de contrôle et de régulation des industries alimentaires, piloté par le ministère du Commerce, visant à sécuriser le marché et à protéger les consommateurs.
FOUSSEYNI BAMBA / Directeur régional du commerce / Mali
Face à cette situation, les autorités s’engagent à retirer du marché toutes les boissons déjà écoulées. Des mesures immédiates de destruction ou de retrait sont prévues.
Au-delà des risques pour la santé publique, ces unités clandestines échappent aux taxes et redevances, générant un manque à gagner pour l’État. Des sanctions financières et pénales sont prévues pour ceux qui persistent dans l’illégalité.
Fousseyni BAMBA / Directeur régional du commerce / Mali
Selon les autorités, cette fermeture marque le début d’une campagne de sensibilisation auprès des producteurs pour les inciter à se mettre en conformité. La DRCC prévoit d’intensifier les inspections dans tout le district de Bamako afin d’empêcher toute nouvelle installation clandestine.



