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Afrique : le mouvement AREMA soutient l’AES

L’Alliance pour la Refondation du Mali (AREMA) a exprimé son soutien total à la création de l’Alliance des États du Sahel (AES). Le mouvement considère le retrait des chefs d’État de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO) comme une décision stratégique, indispensable pour garantir la stabilité et l’avenir des pays membres de l’AES.

L’Alliance pour la Refondation du Mali (AREMA)  dénonce les agissements au sein de la Communauté Économique des États de l’Afrique de l’Ouest (CEDEAO), soulignant l’irréversibilité de la rupture entre les États membres de l’Alliance des États du Sahel (AES) et cette organisation régionale. L’AREMA soutient fermement la création de l’AES regroupant le Mali, le Niger et le Burkina Faso et considère la décision des chefs d’État de quitter la CEDEAO comme une mesure stratégique et pleine de sens pour la stabilité et l’avenir des pays membres.

“ Au sujet du retrait définitif et irréversible de l’AES de la CEDEAO, cette décision de nos chefs d’État est cohérente avec l’attente de tout le peuple de l’espace AES, qui est déterminé à faire un bloc uni et soudé derrière la décision de nos chefs d’État.”

Mohamed Ousmane AG Mohamedoune Haïdara, Président de l’Alliance pour la Refondation du MaliMali

L’AREMA, une alliance de plusieurs forces de la société civile et des partis politiques soucieuse de l’avenir du Mali, se fait l’écho de la volonté des populations de l’espace AES, qui, selon l’organisation, sont unanimes dans leur soutien à la rupture avec la CEDEAO. 

“L’échec de la CEDEAO a conduit aujourd’hui à créer l’AES. Oui l’échec de la CEDEAO a poussé les peuples aujourd’hui, à prendre conscience. L’AES sera la porte d’entrée de l’union des républiques africaines.”

Ibrahim Baba Traoré, Porte-parole des partis politiques et associationsMali

Le départ de l’AES de la CEDEAO, loin d’être un isolement, est perçu comme une grande opportunité pour les pays du Sahel de mieux défendre leurs intérêts collectifs. Il convient de rappeler que les chefs d’État de la CEDEAO ont acté le retrait du Mali, du Niger et du Burkina Faso, à partir du 29 janvier 2025. Cependant, ces trois pays ouest africains devront observer encore une période de transition de six mois entre le 29 janvier et le 29 juillet 2025.

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