Ce week-end à Paris, Superwoman revient pour sa 4ᵉ édition, un événement qui célèbre les femmes influentes, parfois discrètes, souvent invisibles, mais dont l’impact se fait sentir dans de nombreux domaines.
Superwoman… le nom intrigue. Ici, pas question de super-pouvoirs, mais d’influence, parfois discrète, souvent invisible. Des femmes, qui d’une certaine façon transforment la société.Ce samedi 13, à Paris, Superwoman a ouvert sa 3ᵉ édition pour deux jours d’échanges au cœur des Galeries Lafayette.
Organisé par, fondatrice d’Ayana Magazine, l’événement a réuni des femmes de la diaspora africaine et d’ailleurs autour du thème : l’influence dans l’ombre. Comment exister, inspirer et agir sans forcément être sous les projecteurs ?
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Amie Ouattara Kouamé / Fondatrice de Superwoman / Côte d’Ivoire
Chercheuses, dirigeantes, managers… un panel varié s’est réuni pour discuter d’économie, d’entrepreneuriat, de leadership, de culture, mais aussi de parcours personnels. L’objectif : créer un espace d’échanges sans filtre, poser des questions concrètes et offrir des modèles auxquels s’identifier. Pour beaucoup, c’est aussi l’occasion de rencontrer des professionnelles venues d’horizons différents et d’élargir leur réseau.
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Amie Ouattara Kouamé / Fondatrice de Superwoman / Côte d’Ivoire
Cette édition innove avec un nouveau format : The Meet. Un after organisé au Maasaï, pensé pour prolonger les conversations dans un cadre plus intime. Un évènement qui se positionne dorénavant comme incontournable pour ces femmes indépendantes .
