Au Cameroun, quatre partis politiques d’opposition représentés à l’Assemblée nationale ont décidé de s’unir pour créer un groupe parlementaire, l’Union pour le changement. Cette nouvelle entité, qui se présente comme un groupe de pression et une force de proposition, s’engage à placer le bien-être du peuple au centre de ses préoccupations. Pour le Social Democratic Front (SDF), le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), l’Union Démocratique du Cameroun (UDC) et l’Union des Mouvements Socialistes (UMS), sa création donnera une impulsion au travail pour la justice sociale et l’égalité des chances.
Face à la majorité parlementaire détenue par le Rassemblement Démocratique du Peuple Camerounais (RDPC), quatre partis politiques de l’opposition siégeant à l’Assemblée Nationale du Cameroun ont décidé de créer un groupe parlementaire dénommé « L’Union pour le Changement ». L’activité de ce groupe consiste à défendre les intérêts du citoyen camerounais.
Face à la majorité parlementaire détenue par le Rassemblement démocratique du peuple camerounais (RDPC), quatre partis politiques d’opposition siégeant à l’Assemblée nationale du Cameroun ont décidé de créer un groupe parlementaire appelé « L’Union pour le changement ». L’activité de ce groupe est de défendre les intérêts du citoyen camerounais.
“Les partis de l’opposition signataires s’engagent à être les défenseurs des intérêts du peuple camerounais à l’Assemblée nationale, travailler pour la justice sociale et l’égalité des chances, défendre et promouvoir le patriotisme économique, combattre l’injustice et se tenir aux côtés des couches vulnérables et défavorisées, veiller au rayonnement du Cameroun dans le monde, légiférer et contrôler l’action du gouvernement dans l’intérêt suprême du peuple camerounais”
Rapport Union pour le Changement – Cameroun
En créant l’Union pour le changement, le Social Democratic Front (SDF), le Parti Camerounais pour la Réconciliation Nationale (PCRN), l’Union Démocratique du Cameroun (UDC) et l’Union des Mouvements Socialistes (UMS) s’unissent pour revaloriser les droits des Camerounais. Ainsi, ce groupe agira comme une force de pression et de proposition au sein du parlement camerounais.
Il est clair que les partis de l’opposition veulent se positionner en affichant une unité pour grappiller des voix face au parti au pouvoir le RDPC. Ensuite le Cameroun connaît une crise sécuritaire par rapport aux régions dans la zone anglophone mais aussi une drone social marquée par des mouvements d’humeur dans les différents corps professionnel il est clair que la coalition des partis politiques veut en faire une récupération afin de s’inscrire comme une nouvelle force de pression au sommet de l’état
Flavien Mbabi, Analyste politique – Cameroun
La création de ce cercle serait la résultante du mouvement des enseignants « On a trop supporté » (OTS). Mouvement dans lequel le corps enseignant depuis plusieurs semaines revendique entre autres, l’attribution des matricules aux enseignants en attente de leur solde, la prise en compte des primes de non logement, et l’intégration des enseignants vacataires.
