En vue de la présidentielle camerounaise prévue le 12 octobre 2025, les soutiens se resserrent autour du président sortant, Paul Biya. Membre du gouvernement et président du PADDEC, Maître Jean de Dieu Momo affiche une nouvelle fois son engagement aux côtés du candidat du RDPC. Pour cet avocat de profession, aujourd’hui ministre délégué auprès du Ministre de la Justice, le choix est clair : il s’agit de défendre un projet de société axé sur la justice, le développement et la souveraineté nationale.
À l’approche de l’élection présidentielle du 12 octobre 2025 au Cameroun, les soutiens au président sortant Paul Biya se multiplient. C’est le cas de Jean de Dieu Momo, ministre délégué auprès du ministre de la Justice. Président du parti les Patriotes démocrates pour le développement du Cameroun, PADDEC, il salue les avancées réalisées par le chef de l’État. Pour lui, les réformes engagées dans le domaine des infrastructures, de l’électricité ou des institutions judiciaires témoignent d’un engagement réel en faveur du développement du pays et de son indépendance.
Parlons de l’électricité. Lorsqu’on regarde les différents barrages qui ont été faits après le régime d’Ahidjo , est-ce qu’on peut dire qu’il n’y a pas une volonté politique de donner une réponse à son peuple par rapport à la réclamation de l’électricité . De donner une réponse aux industries qui veulent se créer parce qu’une électricité de bonne qualité permet donc l’industrialisation du pays. Est-ce que les différents barrages répondent à cet objectif ? Je dirais oui.
Maître Jean de Dieu MOMO, Membre du gouvernement et président du PADDEC
À travers son engagement, le PADDEC entend encore peser dans cette nouvelle échéance électorale, en misant sur un bilan qu’il juge positif. En renouvelant son soutien au président Paul Biya, Jean de Dieu Momo assume son choix et dit faire le pari de la stabilité institutionnelle, de la continuité des réformes mais aussi d’une gouvernance qui place les intérêts du Cameroun au cœur de l’action publique.
Je suis le président d’un parti politique de l’opposition. Un parti cherche à conquérir le pouvoir. Et donc, oui, nous soutenons le président parce que sa politique rencontre notre adhésion, c’est-à-dire une politique en faveur des populations.
Maître Jean de Dieu MOMO, Membre du gouvernement et président du PADDEC
Au-delà des élections, Jean de Dieu Momo plaide pour une gouvernance ancrée dans le patriotisme, la responsabilité c ollective et l’indépendance économique. Un message qu’il veut porter comme une réponse à ce qu’il appelle « l’évangile du mal », une vision du pays dominée par le dénigrement, qu’il rejette fermement au profit d’un discours de construction et d’unité.



