Le 26 avril 2025, à l’occasion de la première assise du comité exécutif de la CAF au Ghana, le Marocain Fouzi Lekjaa a été nommé premier vice-président. Une désignation significative au vu de l’impact du Maroc sur la sphère footballistique continentale.
En marge de la première réunion du comité exécutif de la Confédération africaine de football tenue le 26 avril 2025, le président de la Fédération royale marocaine de Football Fouzi Lekjaa a été désigné premier vice-président de l’instance faîtière du football continental après avoir occupé à son entrée en 2017 la 3ème vice-présidence. Cette nomination confirme le Maroc comme acteur structurant du développement du football en Afrique.
Les moyens financiers dans le football sont un élément fondamental puisque le développement du football ne passera que par la mobilisation de plus de moyens. Ce souci préoccupe le président depuis sa prise de service à la CAF. On a fait du progrès mais les marges du progrès sont énormes on pourra faire mieux
Fouzi Lekjaa, 1er vice-président de la CAF – Maroc
En plus du comité exécutif de la CAF, Fouzi Lekjaa, 54 ans, a été réélu le 12 mars 2025 membre du Conseil de la FIFA. Son ascension au sein des plus grandes institutions du football mondial, démontre à suffisance les ambitions du Maroc et sa volonté manifeste de promouvoir cette discipline.
Nous sommes le continent avec le plus grand potentiel footballistique, on a besoin de travailler ce potentiel pour être dans le carré des grands et assurer le leader footballistique mondial
Fouzi Lekjaa, 1er vice-président de la CAF – Maroc
Outre Fouzi Lekjaa, le Ghanéen Kurt Okraku a été nommé deuxième Vice-Président. Samuel Eto’o, président de la Fédération camerounaise de football, membre nouvellement élu au COMEX, prend la tête de la Commission technique et développement de la CAF. Pour le Président de la CAF, le Dr Patrice Motsepe, cette réunion a aussi permis de tracer les grandes lignes des projets à venir, axés sur le développement du football à la base, l’amélioration des compétitions et la modernisation de la gouvernance.