L’ancien Premier ministre kényan, Raila Odinga, a reçu le soutien des présidents kényan William Ruto et ougandais Yoweri Museveni pour sa candidature à la présidence de la Commission de l’Union africaine (UA). Le président kényan, William Ruto, a exprimé sa confiance en la vaste expérience de Raila Odinga en tant que leader panafricain, soulignant que sa vision unificatrice et son leadership éprouvé en faisaient le candidat idéal pour conduire l’Union Africaine vers un avenir prospère.
Les présidents kényan William Ruto et ougandais Yoweri Museveni ont exprimé récemment leur soutien à la candidature de Raila Odinga pour la présidence de la Commission de l’Union africaine. William Ruto a notamment souligné sa confiance dans le leadership de l’ex-leader de l’opposition kényane, estimant qu’il jouerait un rôle clé dans la résolution des conflits, la promotion de la paix, ainsi que le développement du commerce et de l’investissement.
Avant de présenter sa candidature, nous sommes allés voir Yoweri Museveni en tant qu’ancien et avons parlé avec tous les chefs d’État de la Communauté de l’Afrique de l’Est et avons confirmé que nous avions le bon candidat.
William Ruto, Président de la République du Kenya
Le président William Ruto a souligné que la candidature de Raila Odinga à la présidence de la Commission de l’Union africaine va au-delà du Kenya et constitue une opportunité pour toute la région de l’Afrique de l’Est. C’est à cet effet qu’il a consulté les dirigeants de la sous-région pour soutenir cette candidature.
Nous soutenons la candidature de Raila Odinga à la présidence de la Commission de l’Union africaine. Le véritable pouvoir de faire avancer l’Afrique est entre nos mains en tant que dirigeants. Raila Odinga peut nous aider à réfléchir, mais c’est à nous d’agir.
Yoweri Museveni, Président de la République de l’Ouganda
L’ancien Premier ministre kényan Raila Odinga est candidat à la succession de Moussa Faki Mahamat du Tchad à la présidence de la Commission de l’Union africaine en février 2025. Il appelle à l’ouverture des frontières pour permettre la libre circulation des biens et des services et souligne la nécessité de se concentrer sur l’unification de l’Afrique.