Clôture de la sixième édition du festival international de film féminin au Rwanda ce 11 octobre sous les promesses de plusieurs innovations pour les éditions à venir. Il a été également une occasion de penser à la condition de la jeune fille dans le cinéma au moment où le monde célèbre la journée internationale de la jeune fille. Malgré les restrictions liées aux mesures de prévention de la covid-19, une dizaine de films ont été projetés durant le festival d’une semaine. La plupart de ces films sont produits par des femmes.
Pour la première fois, depuis longtemps, ces jeunes professionnels du cinéma retrouvent le tapis rouge. Nous sommes à la clôture de la sixième édition du festival international de film féminin Urusaro, qui se déroule chaque année à Kigali pour célébrer la femme dans le cinéma. Pour cette année, une pensée est allée également à la jeune fille, car le 11 octobre de chaque année, c’est la journée internationale de la jeune fille.
Pour cette année, une pensée est allée également à la jeune fille, car le 11 octobre de chaque année, c’est la journée internationale de la jeune fille. C’est une œuvre de la réalisatrice soudanaise Suzannah Mirghani. Une histoire poignante du conflit entre la jeune femme en quête de liberté et les traditions ancestrales au Soudan. Des histoires originales qu’il faut à tout prix raconter.
Une dizaine de films issus de trois continents ont été projetés durant le festival d’une semaine dont la plupart sont des productions féminines ou masculines qui parlent de la condition féminine.
