Le bassiste sénégalaios Alune W ade en tournée pour présenter son nouvel album “Boogie and juju” était le mercredi 4 juin au Studio de l’ermitage à Paris pour rencontrer le public parisien.
L’album Boogie and Juju est sorti depuis le 2 mai, et c’est à travers une série de concerts que le bassiste sénégalais Alune Wade le présente au public. Ce mercredi 4 juin, sa guitare a vibré au Studio de l’ermitage à Paris. Alune Wade c’est six albums à son actif. Un artiste multidimensionnel à la sauce multiculturelle, sa dernière production New African Orleans invite à un voyage séculaire entre le continent africain et américain, il l’a enregistré notamment au Nigéria et au Sénégal, son pays de naissance et ensuite à la Nouvelle Orléans.
Le public n’était pas déçu, nous aussi. Du coup ça nous a permis de passer de très bons moments ensemble avec le public et de présenter les morceaux en live car le live est beaucoup plus chaleureux.
ALUNE WADE – Bassiste – Sénégal
Sur scène, un rappel historique, avec sa chanson Gorée qui retrace le tragique voyage des esclaves venus d’afrique, victime du commerce triangulaire
Un album que nous avons eu l’occasion de présenter à Bordeaux, au Ghana, au Nigéria, au Sénégal, à Dakar et à Saint Louis et là c’était vraiment la sortie de l’album ici à Parois.
ALUNE WADE – Bassiste – Sénégal
Un dernier hommage à Nelson Mandela, figure emblématique de la lutte contre l’apartheid en Afrique du Sud
Géographiquement, c’est l’une des plus petite île qui existe mais historiquement l’un des iles les plus chargée d’histoire.
ALUNE WADE – Bassiste – Sénégal
C’est une chanson qui m’avait marquée depuis tout petit donc j’ai grandi avec souvent on le joue sur scène. Je l’avais chanté également il y a deux ou trois ans lorsqu’un politique sénégalais était en prison à l’occurrence Monsieur Ousmane Sonko qui est devenu Premier ministre
ALUNE WADE – Bassiste – Sénégal
Entre Jazz, afrobeat, juju music, assiko camerounais ou le mbalakh du sénégal…Alune Wade mélange les genres et les époques à travers cet album où il chante en wolof, en français et en anglais, et qui rend hommage aux origines africaines du jazz, né du croisement entre musiques africaines et sonorités occidentales. Le 11 juillet prochain, il sera à Marseille pour donner encore d’autres vibrations aux mélomanes.