La croissance énergétique est un défi majeur en Sierra Leone. Le pays d’Afrique de l’Ouest a défini l’accès à une énergie moderne, durable, abordable et fiable comme l’une de ses priorités. Ainsi, le gouvernement s’efforce à mieux développer les secteurs des énergies renouvelables et non renouvelables au grand bénéfice des citoyens.
La Sierra Léone dispose d’abondantes ressources primaires énergétiques. A cet effet, l’exécutif tente de multiplier les initiatives qui visent notamment à renforcer l’accès à l’énergie et stimuler la production énergétique en vue d’améliorer la qualité des services publics dans l’éducation, la santé, l’emploi, entre autres ne manquent pas d’être multipliées en faveur des populations sierra léonaises.
La Sierra Leone fait bien de croire pleinement elle aussi, et à raison d’ailleurs, en ses capacités énergétiques et surtout en cette opportunité avérée de développement durable désormais portée par une reformulation et une dynamisation très profonde du secteur des énergies allant dans le sens de cette croissance verte.
Serge-Parfait DIOMAN, Expert international en industries pétrolières et énergies
Le Gouvernement sierra léonais avec l’appui des partenaires au développement tels que la Banque africaine de développement travaillent à mettre en place des approches pouvant offrir une croissance basée sur le développement des ressources naturelles du pays.
La gestion stratégique des ressources naturelles énergétiques tant renouvelables que non renouvelables du pays constitue l’un des axes d’implémentation de cette démarche qu’entend endosser la Sierra Leone dans la perspective donc de son plan national d’émergence au cœur duquel en effet le secteur des énergies occupent justement une place stratégique et prioritaire chère aux autorités.
Serge-Parfait DIOMAN, Expert international en industries pétrolières et énergies
La Sierra Léone peut, à l’image de certains pays, se construire une économie riche et diversifiée basée sur l’abondance de ses ressources naturelles. Cependant, la contrainte d’accessibilité à des coûts rentables aux abondantes ressources primaires énergétiques pourtant disponibles constitue le talon d’Achille qui freine certaines réalisations.
