Selon les estimations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 12,6 millions de personnes sont décédées en 2012 du fait d’avoir vécu ou travaillé dans un environnement insalubre, ceci représentait près d’un quart des décès dans le monde. La République du Congo, pour des raisons de santé, veut accentuer sa politique de lutte contre l’insalubrité et renforcer l’assainissement urbain de ses grandes villes. Les autorités du pays veulent aussi s’appuyer sur la transformation des déchets pour créer de la richesse en faveur de la jeunesse chercheuse d’emplois.
La République du Congo pense à la transformation des déchets qui contribue à la pollution de ses grandes villes comme Brazzaville, Dolisie et Pointe-Noire. Les autorités soutiennent les initiatives entrepreneuriales de la jeunesse congolaises allant dans le sens de la création de la richesse en contribuant à l’assainissement urbain dans le pays.
On voulait aller plus loin pour voir comment partir d’une approche communautaire de pré-collecte des déchets, à la collecte des déchets avec l’intervention des organes déconcentrés et décentralisés. Et aussi, voir dans quelle mesure ces déchets peuvent être transformés, peuvent être recyclés pour en donner une valeur ajoutée importante pour la jeunesse puisque c’est aussi une mine d’emploi, c’est une niche d’emplois, d’emplois verts, d’emplois durables.
Depuis janvier 2025, la République du Congo consacre un département ministériel entier sur la question de l’assainissement urbain dans le pays. Cela a conduit à l’organisation d’une première Conférence de l’assainissement urbain sur le thème: “Défis, enjeux et perspectives”. Pour le ministre Juste Désiré Mondele, il était important d’impliquer les communautés, de rassembler puis d’écouter toutes les intelligences afin de rendre aux villes leur propreté.
Un moment d’échanges je dirai efficace puisque l’objectif en réalité pour nous c’était d’écouter, de prendre en ligne de compte les propositions et on a eu les propositions surtout de la part des jeunes mais qui ont plusieurs approches, multiples approches en ce qui concerne l’assainissement qu’on a bien vu qui n’est pas seulement lié aux déchets qui sont produits.
Selon les estimations de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS), 12,6 millions de personnes sont décédées en 2012 du fait d’avoir vécu ou travaillé dans un environnement insalubre, ceci représentait près d’un quart des décès dans le monde. Les autorités congolaises entendent capitaliser les acquis de la première Conférence de l’assainissement urbain en vue d’améliorer le cadre de vie des congolais à travers un véritable plan d’urgence.
