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Gabon : la province de l’Ogooué-Ivindo, un territoire riche en minerais

Avec pour chef-lieu Makokou et une superficie de 46 075 km2, l’Ogooué-Ivindo est l’une des neuf  provinces du Gabon. Elle est située au nord du pays et est frontalière avec la République du Congo. C’est la province la plus vaste du pays et celle dont la densité de la population est la plus faible. La région de l’ Ogooué-Ivindo représente un atout important pour le pays car ses sous-sols sont très riches principalement en minerais notamment le fer et l’or . 

Située au Nord-Est et limitée au Nord et à l’Est par la République du Congo, l’Ogooué-Ivindo est la 6ème province du Gabon. C’est la province la plus vaste du pays avec une superficie de 46 075 km2. Elle dispose d’importantes richesses naturelles, l’exploitation de l’or et du fer constitue le potentiel minéralier de la province.

“ Cette province est une diversité linguistique qui fait aussi sa richesse. En terme de richesse économique il faut dire que l’Ogooué-Ivindo a d’immenses terres arables à un climat favorable à l’agriculture en ce qui concerne les ressources naturelles on exploite le fer  et l’or.

Tsonga Martial, Journaliste Gabon

Malgré cette richesse, la région rencontre des difficultés à valoriser ses potentialités économiques pour stimuler l’économie locale. Le manque des infrastructures et services sociaux de base et des infrastructures routières font également partie  des défis de la région. Pour pallier aux problèmes, le président de la Transition, Brice Clotaire Oligui Nguema, a octroyé, en mars 2024, une dotation de 7 milliards de FCFA. 

“C’est-à-dire que l’espoir est permis pour ces populations de cette province comme bien d’autres. Ces populations croient aux nouvelles autorités qui impulsent une certaine dynamique qui va résorber le taux de chômage des jeunes”.

Tsonga Martial, Journaliste Gabon

Outre les richesses du sous-sol de l’Ogooué-Ivindo, l’activité économique est également tirée par l’exploitation forestière, l’agriculture, l’élevage et l’industrie du bois. Ces atouts encore sous-exploités pour certains secteurs pourraient concourir à atteindre les objectifs du développement fixés par l’État d’après certains experts.


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