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Guinée-Bissau : vers la construction de systèmes de stockage et d’infrastructures routières

En Guinée-Bissau, les différentes crises mondiales sont à l’origine du déficit d’infrastructures de base qui sont un frein au système agricole. Pour y faire face, les autorités nationales entendent créer des systèmes de stockage et des infrastructures routières en faveur de l’agrobusiness et de la valorisation du made in Guinée-Bissau. 

L’agriculture et les services dominent le Produit intérieur brut (PIB) bissau-guinéen, tandis que le secteur manufacturier et les activités de construction demeurent embryonnaires. Fort de ce constat, le ministre bissau-guinéen de l’Agriculture Sandji Fati, grâce à divers partenariats dans la sous-région, entend diversifier les cultures, mettre en place un système de mécanisation agricole, augmenter la consommation et la transformation locale, créer des systèmes de stockage, construire des infrastructures routières.

« Si on peut échanger nos produits pas loin de Bissau au lieu d’exporter vers d’autres continents, pourquoi pas entre nous meme et ca ca exige par exemple l’infra structuration du continent par exemple la Guinée Bissau et le Sénégal que ca peut mener de dakar à Abidjan, d’Abidjan à d’autres pays. »

Sandji Fati, ministre de l’Agriculture

En procédant à la transformation locale, le gouvernement insiste sur la valorisation du made in Guinée-Bissau à travers l’agribusiness. Aussi, la noix de cajou qui génère 95% des exportations pourra être plus consommée sur le terroir, permettant de limiter les dépenses concernant les importations de produits alimentaires et manufacturés, ainsi que pour les services de transport.

« Des fois, on fait la production, mais on n’a pas de marché, on est en train de chercher que les bateaux viennent et les amènent vers d’autres endroits que la Côte d’Ivoire dispose déjà d’une usine qui peut fabriquer la farine de manioc ou de maïs pourquoi pas l’exporter. »

Sandji Fati, ministre de l’Agriculture

« Des fois, on fait la production, mais on n’a pas de marché, on est en train de chercher que les bateaux viennent et les amènent vers d’autres endroits que la Côte d’Ivoire dispose déjà d’une usine qui peut fabriquer la farine de manioc ou de maïs pourquoi pas l’exporter. Ce sera aussi l’occasion de revoir l’accès aux services financiers qui demeure un autre obstacle majeur à la sécurité alimentaire en Guinée-Bissau.

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