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Bruits de bottes à Ouagadougou : le président de la transition appelle des éléments de l’armée au calme

Le Burkina Faso est de nouveau sous le feu des projecteurs avec la crise que le pays traverse depuis ce 30 septembre. Le calme est certes revenu depuis les premiers coups de feu entendus dans certains quartiers de Ouagadougou ce matin, toutefois et malgré un communiqué du président de la République Paul-Henri Sandaogo DAMIBA, des interrogations sur la suite des événements persistent.

Situation toujours confuse à Ouagadougou au Burkina Faso, après des tirs entendus aux premières heures de la journée dans la zone ministérielle de la ville. Quelques axes routiers majeurs comme l’avenue Thomas Sankara ont été bloqués avec des éléments de force de défense postés devant les sites stratégiques. En mi journée, par voie de communiqué via les réseaux sociaux Les services  de communication du président du Faso, le lieutenant-colonel DAMIBA, tentaient de rassurer les populations en présentant la situation comme un mouvement d’humeur de certains éléments des Forces armées nationales.

Le Président du Faso, Chef suprême des Forces armées nationales, le Lieutenant-Colonel Paul-Henri Sandaogo DAMIBA, invite les populations à observer la plus grande prudence et à rester calme face à certaines informations qui circulent notamment sur les réseaux sociaux. Des pourparlers sont en cours pour ramener le calme et la sérénité. L’ennemi qui attaque notre pays ne souhaite que la division entre Burkinabè pour accomplir son action de déstabilisation.Restons unis pour le triomphe de la paix et de la sécurité.

Direction de la Communication , Présidence Burkina Faso

Depuis son putsch contre le président Roch Marc Kaboré en janvier 2022, le président Damiba fait face à une crise sécuritaire grandissante avec des attaques terroristes qui se multiplient. Lundi 26 septembre  dans le nord du pays, une attaque contre un convoi de ravitaillement a a causé la mort de 11 soldats. Au sein de l’armée, certains informateurs parlent d’un mécontentement qui se généralise. Des populations ont profité de cette tension pour manifester leur frustration dans certaines rues de la capitale.

En attendant la confirmation d’un retour à l’ordre, les Burkinabè redoutent un autre coup de force contre le président actuel.

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